Il est tout de même important de savoir si réellement KENGO, en sa qualité de président du sénat et juriste de formation, a-t-il la volonté d’alarmer le monde entier sur le retour en homme libre de MOÏSE KATUMBI à l’heure actuelle au moment où, son silence de mort dans la mise en œuvre de l’ accord de Saint Sylvestre nous laisse perplexe.
La sortie du président du sénat hors mandat Léon
KENGO voulant faire croire à l’opinion qu’il se souciait de MOÏSE KATUMBI à la dernière minute et le souci de toute la situation politique actuelle en République Démocratique du Congo, est une preuve de l’ hypocrisie politique et la ruse d’un homme qui a déjà raté son bus Transco pour le 23 décembre 201. Tout reste à croire qu’il ne vise que son trône au sein du Sénat après le dialogue prévu dans les officines politiques afin de protéger toujours et toujours les intérêts obscures de ses maîtres voisins.
Dire que MOÏSE KATUMBI demande l’amnistie pourvu que la liberté et la justice puissent être en sa faveur afin de se présenter comme candidat aux élections présidentielles du 23 décembre 2018, celà équivaudrait à la violation flagrante de l’ accord de Saint Sylvestre et la normalisation de la dictature en République Démocratique du Congo.
À en croire, Léon KENGO est un ennemi de la République Démocratique du Congo et l’ennemi du changement par le fait qu’il roule pour la Kabilie en voulant piéger Moïse Katumbi sur l’amnistie. C’est de l’hypocrisie politique.
Selon l’histoire, Léon KENGO est un juriste de formation, l’ancien premier ministre du feu président Mobutu, l’ancien Procureur général de la république, Président du Sénat depuis 2017 à ce jour. Comme tout autre juriste, Léon KENGO est sans ignorer que l’exécution d’une Amnistie nécessiterait d’abord du temps et l’amnistie a surtout un caractère juridique qu’ il faut réellement accomplir avant son exécution.
Si cette sortie médiatique avait comme objectif de voler les coeurs et la compassion des Congolais, il est alors important qu’ il commence par démissionner.
Le peuple congolais n’attend qu’une chose: Les élections inclusive et sans machine à voter.
Désormais, Les congolais clament à la vigilance pour barrer la route à la Kabilie et mettre fin à ce système politique.
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