LAMUKA:Convier le Peuple et les institutions à respecter scrupuleusement la loi ce n’est pas provoquer à la violence.

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Non, si tout faire pour respecter et faire respecter notre Loi fondamentale, notre Constitution; respecter et faire respecter nos lois, plus particulièrement la loi électorale; respecter et faire respecter les règlements de la République, plus particulièrement le calendrier électoral et ses séquences…doit être interprété de provocation à la violence, c’est que le Constituant  (le Peuple) lequel, par son oeuvre qui est  la Constitution, exige, expressément au Président de la République de respecter et de faire respecter la Constitution et les lois de la République  doit être accusé de provocation à la violence. Bien plus, le discours relatif au serment du Président de la République lors de son entrée en fonction par lequel il << _jure de respecter et de faire respecter la Constitution_ >> doit être traité de provocateur à la violence, pour ne pas revenir sur  << _l’actio popularis_ >> (l’action populaire, action visant la défense de l’intérêt général ) de l’article 64 de la Constitution : barrer la route à quiconque exercice le pouvoir en violation de la Constitution…, la Constitution étant l’incarnation même de l’intérêt général.
La machine à tricher est un virus qu’il faut extirper sous toutes ses formes. La combattre par tous les moyens c’est assurer la défense de l’intérêt général.  L’idée de son utilisation illicite  est un crime non seulement de lèse-constitutionnalité,  mais également une négation de notre existence en tant qu’un État régi par des lois. Elle (machine à tricher) est, en elle – seule,  une gigantesque industrie de la fraude électorale laquelle permettra à un groupe d’individus d’accaparer le pouvoir au dépens de la volonté souveraine du Peuple au moyen d’une parodie d’élections, dixit le Sénateur Jean-Pierre Bemba.
Donc,  convier le peuple à respecter et à faire respecter la Constitution,  la loi électorale et le calendrier électoral, comme le fait le Candidat n°4, le favori à la Présidentielle du 23 novembre, Martin Fayulu,  n’est pas faire le panégyrique de la violence, sinon c’est l’inversion prônée des valeurs de la République. Ce sont ceux qui s’activent à la violation des lois de la République  qui sont responsables des conséquences pouvant résulter de cette délinquance d’État.
*Rendez-vous le 23 décembre sans machine à tricher.*
*Martin Fayulu Président.*
N°4
Éric Bilale.