LA GOUVERNANCE LOCALE À KOLWEZI DANS LA PROVINCE DU LUALABA

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Le gouverneur de la province du Lualaba, nous citons le Citoyen de la République Richard Muyej M.M, aurait reçu une reconnaissance en prix pour la “bonne gouvernance ” dans sa juridiction politique et administrative qui est la province du Lualaba.
C’est la maison CIOTA de kolwezi qui aurait octroyé ce mérite au gouverneur Muyej M.M candidat au gouvernorat du lualaba aux élections de gouverneur du 10/04/2019,  voulant rendre le gouverneur de la province du lualaba personnalité de l’heure selon les standards internationaux.
Une autre manière de battre compagne. Mais c’est des dollars USA dépensés pour une festivité habituellement organisée même à l’occasion de rien.
Prix de bonne gourmandise ou gouvernance ?
Ça nous rappelle l’année passée que, le gouverneur Muyej du Lualaba, aurait déboursé plusieurs dollars Américains à l’occident  pour s’être attribué un prix du développement économique dans la province du lualaba.
Malheureusement, ce prix n’avait été médiatisé à l’internationale , craignant le discrédit de la maison qui avait attribué ce prix car la réalité était que, la pauvreté économique était observée sur toutes les couches sociales. Cette maison dont nous faisons le nom, aurait nommé le gouverneur du Lualaba : “Mister Cobalt ” juste pour faire attirer les curieux occidentaux.
Mais aujourd’hui, on nous parle de bonne gouvernance à kolwezi dans la province du lualaba.
Mais, nous nous efforçons d’être modéré dans cette analyse de “bonne gouvernance ” dans la province du Lualaba. Pour ce faire, nous allons établir les bases d’analyse et chacun de nous fera son analyse.
La gouvernance locale  est la manière dont le représentant de l’État dans une entité décentralisée assure ses fonctions , sa capacité de régulation et d’impulsion , et surtout son aptitude à piloter la province qui est son entité.
A notre avis, la gouvernance suggère que, l’innovation ne residerait pas dans les réformes ou la construction populiste des immeubles , mais plutôt dans l’art de piloter l’État ou l’administration Locale en orientant ses différentes composantes de manière à optimiser leur rendement et leur efficacité au service du bien-être social. Mais, sachons que la gouvernance n’exclut pas les réformes.
Alors , pour les Nations Unies et la plupart des Agences de développement que le gouverneur Muyej aurait maîtrisé leur fonctionnalité , LA BONNE GOUVERNANCE c’est :
1. La bonne gestion des affaires publiques
2. La démocratie locale sur le plan politique, économique et administratif
3. La culture associative
Ces trois points sont, à notre avis presqu’ innexistant à kolwezi dans la province du Lualaba car:
-Au point 1: pour la bonne gestion des affaires publiques, une megestion accrue aurait été à plusieurs fois décrié.
Les cas les plus criants :
A. MINISTERES
##le ministrere  de l’Économie qui n’aurait jamais dirigé l’économie de la province, selon ses révélations propres
##le ministère de l’agriculture qui n’a jamais eu ni un champ d’expérimentation ni un seul tracteur, moto,… pour les travaux du terrain , pendant que la province aurait été pilote.
##ministère de mine, qui a été présent pour gérer les affaires d’une caste pilotée par le gouverneur.
Etc…..
B.SERVICES PUBLICS
dans les services publics à kolwezi dans la province du Lualaba, il faut appartenir à un groupe tribal pour être chef d’un service public à kolwezi, il faut être de telle appartenance tribale pour avoir un emploi dans un service public.
Dans ce cas, les statistiques les démontrent. Faisons ensemble cet exercice : prénoms un papier et un stylo, premièrement regroupons les groupes tribaux et leurs associations socio-culturelle, deuxièmement  enumerons les différents services publics dans la province du lualaba, enumerons le nombre des bureaux des communes, des quartiers et des cellules , troisièmement enumerons les noms des animateurs et leurs dépendants, quatrièmement remplacons les noms des animateurs des services publics et leurs dépendants dans l’appartenance tribale et publions ensemble le pourcentage des groupes tribaux dans la gestion de la province du Lualaba.
C.DOMAINE PRIVE
Les entreprises privées qui réussissent et qui gagne les contrats appartiennent à un groupe tribal. Que chacun énumère et publie les résultats. Plus grave,  certains chef d’entreprise n’appartenant pas à un groupe tribal devenu puissant économiquement à kolwezi, font l’objet de traque contre eux même et leur contrat. Les exemples sont legins. Néanmoins, nous citons deux seulement: Monungo Kabasa Jean-Pierre aurait vécu en Exil pendant plus de 6 mois et ses contrats combattus, Germain Pungwe , dont nous taisons les Commentaires.
-Au point 2: La Démocratie Locale sur le plan politique, économique et Administratif
Dans ce point, beaucoup aurait été déjà dit au point 1.
Il n’existe pas une démocratie politique à kolwezi dans la province du Lualaba. La politique est tribalisée , il y a eu les arrestations à plusieurs reprises des hommes politiques de l’opposition. A ce niveau, il se pourrait qu’une plainte aurait été déposée contre les autorités de kolwezi dans des instances nationales et internationales pour la torture.
-Au point 3: La culture associative
Ce point est à la base de la megestion locale et la mauvaise gouvernance à kolwezi dans la province du lualaba.
La culture associative , selon notre culture congolaise, elle se vit dans des associations. Et les plus importantes sont les associations socio-culturelle  car faisant partie du patrimoine de l’Unesco pour leur contribution à la culture de paix.
Malheureusement, sous le haut patronage du gouverneur de la province du Lualaba, certaines associations socio-culturelles considérées comme patrimoine de l’Unesco auraient été dédoublé car réclamait autre chose à l’inverse de la réalité imposée. Dans la raison de fragiliser les uns déclarés hostiles et chérir les autres déclarés bons mais pour les regeter après les avoir utilisés.
Ceci est une pratique propos à certaines gens dont la ruse est sanguin. Nous sommes et nous avons été tous victimes de. Cette pratique.
A ce trois points , il est important d’énumérer les principaux indicateurs qui sont les principes rationnels  de la bonne gouvernance locale qui sont par exemple :
1. La transparence
2. L’éthique et le respect de la déontologie dans la gestion
3. L’indépendance et la crédibilité de la justice
4. Des élections libres et transparentes
5. L’indépendance des Contre-pouvoir
-Au point 1: la transparence :
rien ne garantit la transparence du fait que la gestion est populiste, unilatéralement institutionnelle , seul le gouverneur qui joue le rôle de tout le monde dans la gestion : dictature administrative. La surfacturation des travaux publics, des missions personnelles et publiques au frais de l’État, aucun Édit financier: gestion financière opaque.
-Au point 2: L’éthique et le respect dans la gestion :
Selon nos sources, le gouverneur de la province du Lualaba n’aurait jamais eu aucune Considération morale et personnelle envers ses premiers administrés qui sont les ministres. Il pouvait les gronder comme les petits enfants lorsque un problème d’ordre administratif survenait au lieu de les orienter comme un vrai manager. C’Est lui qui aurait un point de vu important à tout point de vue. Conséquence , tous les ministres transformés en des figurines, marionnettes etc.
-Au point 3: l’indépendance et la crédibilité de la justice dans la province du Lualaba:
A ce niveau, d’une manière répétitive, les hommes de justice crient toujours que : ” dans cette affaire , nous avons les mains liées”
Les exemples sont légions .
Si vous voulez, un seul exemple suffit :
Arrestation de l’opposante politique René Lumuna Mubonde et son groupe, l’Affaire du sénateur Flungu contre Mme Fifi Masuka, vice gouverneur
-Au point 4: Les élections Transparente :
Ceci aurait été un point honteux de l’histoire du gouverneur Muyej.
Passons seulement …!
-Au point 5: L’indépendance des Contre-pouvoirs: société civile divisée ,  opposition infiltrées, presse du pouvoir,
Et, donc la dépendance visible
Et enfin , terminons avec les 3 Dimensions de la gouvernance locale:
1. La gouvernance Économique : aucune décision n’a été prise allant dans le sens du bien-être social et économique de la population de Lualaba ainsi que sur les relations économiques de la ville de kolwezi avec les territoires de la province.
2. La gouvernance politique : dans cette gouvernance , aucun progrès n’a été enregistré, aucune politique publique axée sur le social n’a été élaboré et mise en Oeuvre pour le bien-être social de la population de la province du Lualaba.
3. La gouvernance administrative :
Lorsque la gouvernance politique échoue, la gouvernance administrative cesse d’existe par manque des politiques publiques axées sur le social. La gouvernance administrative est Comptable des  politiques  publiques à mettre en Oeuvre .
Mais, nous remarquons l’accès du populisme et la recherche de la bourgeoisie par tous ceux qui sont dans ce gouvernement en commençant par le gouverneur Muyej.
Il est possible que tout change dans ce pays, il faut tout simplement savoir dire “NON” quand il faut et savoir dire “OUI” quand il faut. Et non pas le contraire.
Mwanza Ntompa Félix
Citoyen de la République
Chercheur en géostratégique