L’INSECURITE À KOLWEZI DANS LA PROVINCE DU LUALABA : l’arbre qui cache la forêt ou secret de polichinelle

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Comme un coup de foudre qui tombe dans le firmament annonçant la fin de bon film qui venait de commencer au moment, les acteurs s’appretaient pour entrer en Scène.
Comme nous pouvons dire, on s’habitue pas à la souffrance …! Mais à kolwezi  dans la province du lualaba, la vie humaine n’est plus à l’abris, l’insécurité y est en bonne santé:  vol à mains armées, bracages diurnes et nocturnes, éboulements dans les carrières minieres, deguerpissement des habitants dans les quartiers résidentiels devenu carrés miniers attribué aux chinois, ebola, etc.
Ce sont là les différentes  formes d’insécurité devenue habituelle à la population de kolwezi dans la province du Lualaba déclarée province pilote de la République Démocratique du Congo.
Chaque jour qui passe, un cas d’insécurité devrait être enregistré. Le plus touchant des cas, c’est celui du bracage en plaine journée du regretté TSHIMWANG MPAT Patrick, gérant de la messagerie financière Western Union, bureau de Maria polis dans le Quartier Mutoshi , en diagonale du cathédrale Notre-Dame de Maria polis.
Se trouvant à son lieu de service, c’est ce Jeudi 18 Avril 2019 aux environs de 14 h, heure de kolwezi que,  le gérant de Western Union, connu sous le nom Patrick Mpat avait été braqués par les bandits à mains armées qui ont réussi à faire leur coup en toute aisance en logeant une balle dans le corps du gérant qui a succombé plus tard dans la soirée suite aux blessures.
Il est pratiquement impossible de comprendre les méandres qui ont poussé  ce jeune homme dans l’au-delà à fleur d’âge, un homme  loyal, correct  et dont l’intégrité morale caractérise  son intelligence pratique. Ce jeune qui laisse derrière lui une femme et une fillette de 4 Mois.
Pour ceux-la qui connaissent mieux Kolwezi, ils comprendront un vrai théâtre à été joué dans toute complicité et dans le non assistance le plus totale. Le lieu du crime se trouve sur un carrefour dont la circulation est intense et il y a même un arrêt des bus qu’on appelle “arrêt maria polis. Juste à son côté, il y a les menuisiers qui exposent les meubles en bois. Juste en presque deux maîtres du diagonale de son bureau, il y a un groupe d’hommes braves qui vendent de l’essence et d’autres font le “cambismes” et vendent les unités.
La même route ou boulevard qui va vers la mairie de kolwezi à environ  sex-cent maîtres, en passant par le gouvernorat du Lualaba.
Alors, il est à noter que,  du lieu du crime à la mairie de kolwezi, il y au moins quatre postes de la Police Nationale Congolaise. Ces différents  groupes de policiers sont commis à la garde des autorités politico-administratives de la place. Le premier poste de la police est à environ  moins de trente maîtres du lieu du crime. Et le plus choquant est que , le gérant à mis le temps de lutter jusqu’au retentissement de l’arme de guerre et que, les assaillants ont pris tout le temps de prendre leur butin et remonter calmement dans leur véhicule et repartir sans aucune intervention.
S’il faut rappeler une petite histoire, la province du Lualaba a la chance d’être dirigé par l’ancien ministre de l’intérieur de la République Démocratique du Congo connu sous le nom officiel de Richard Muyej M.M.
Pendant son mandat en tant que ministre de l’intérieur en charge de la sécurité de la République, la RDC a connu à l’époque une certaine accalmie en matière de l’insécurité, en dehors de l’insécurité théâtrale de l’Est de la République.
Mais curieusement, devenu gouverneur d’une des 26 provinces qui étaient à sa charge en matière de sécurité, le même Richard Muyej M.M manque au rendez-vous sécuritaire dans une ville qui a deux communes et certains communes en devenir.
 Cette réalité nous pousse à vouloir savoir les vrais causes de l’insécurité grandissante à Kolwezi.
L’INSECURITE À KOLWEZI DANS LA PROVINCE DU LUALABA: L’arbre qui cache la forêt ou secret de polichinelle?
Il souviendra que, environ trois semaines après qu’il ait été à la tête de la province du Lualaba comme commissaire, bien qu’il a été boudé à gauche et à droite, la ville de Kolwezi a été véritablement secoué par l’insécurité : vols à mains armées, bracages, tueries, etc. Mais il suffisait que, une petite campagne médiatique faite par lui, son entourage accompagné des arrestations et présentations  spectaculaires des présumés  dont la suite était passé dans l’incognito , la population avait eu à vivre  en paix. Et d’ou le sobriquet de “Papa solution”. Il s’était attiré une forme de reconnaissance et une certaine acceptation de la part de la population.
Pendant ce trois dernières années de son règne, les cas sont légions et le théâtre du départ protocolaire de l’ancien commandant de FARDC connu sous le nom de CORAMDO, en dit trop.
Bien avant ce cas que nous devrions, il y a eu un autre théâtre du vol spectaculaire des câbles électroniques haute tension, câbles couvrant environ 14 poteaux électriques de haute tension, dans le silence lu plus absolu.
S’il faut comprendre, toutes les autorités politico-administratives et militaires , sont à la recherche de la bourgeoisie. Raison pour laquelle, rien n’est prise comme précaution à déjouer les maux qui rongent la ville de kolwezi.
La dotation du charoi automobile et carburant à la police nationale et des forces  l’armées est événementielle. Il faut qu’il ait l’arrivée d’une haute autorité venue de Kinshasa ou après des bavures faites par les hors la loi ou encore lors de la marche pacifique de l’opposition ,   pour voir le déploiement de l’Arsenal sécuritaire et l’alerte maximale de tous les services de sécurité.
En même temps, une insécurité grandissante et honteuse dans la petite province , petite ville de deux communes et les communes annexes en devenir laisse indifférent les décideurs. Nous disons  bien que , une ville de deux communes avec comme grand alter avenue Maman mujinga, boulevard du 30 juin, Lumuba, LD kabila, du manguier et kajama; l’ancien ministre de l’intérieur de la RDC en charge de la sécurité de 26 provinces que compte ce même pays, échoue à la sécurisation d’une petite province qui lui ai favorable avec une administration gepolitiquement acquise.
“L’arbre qui cache la forêt ou secret de polichinelle ?”
De notre avis, comme disait Martin Lutter King Junior, «La guerre du Vietnam n’est que le symptôme d’une maladie plus profondément enfouie dans l’esprit Américain. », de même, nous disons que  «l’insécurité grandissante à kolwezi dans la province du Lualaba, est le résultat de la recherche de la bourgeoisie par les autorités ayant la sécurité des personnes et leurs biens en charge.»
Nous ajoutons pour dire que, «si l’histoire de kolwezi a quelque chose à nous enseigner, c’est que la négligence sécuritaire est par nature farouche et récalcitrant à kolwezi et qu’elle ne lâche jamais volontairement sans que les tenants du pouvoir livrent au préalable une résistance contre l’Amour matériel. Il faut donc renier à la recherche de la bourgeoisie et s’y mettre au service de la population. »
Nous rendons hommage à tous les économistes de la ville de kolwezi.
A Dieu mon cher TSHIMWANG  MPAT Patrick, désormais dans le domaine de bien heureux
Mwanza Ntompa  Félix
Citoyen de la République
Chercheur en géopolitique et lutte contre les confl