Le président de la République Démocratique du Congo a du pain sur la planche pendant cette semaine historique pour lui-même et pour toute la nation congolaise: c’est la semaine de concrétisation de ses voeux les plus ardent pour l’alternance au sommet de l’ État, volonté d’organiser les élections et celle de quitter le pouvoir, de respecter la constitution bien que ce respect est déjà hypothétique du simple fait d’être au pouvoir jusqu’à nos jours au moment où il y a maintenant presque deux ans après 2016.
C’est donc pour lui une semaine soit de grandeur d’âme ou soit de mauvaise qualité spirituelle. C’est un moment d’exorcisme politique au sein de sa plate-forme politique FCC dont il est autorité morale. C’est donc le moment de vérité et d’intelligence sociale pour un président au pouvoir depuis son jeune âge. L’heure de vérité politique et de sincérité sociale a sonné. Stop aux suspense et aux ironie politique. C’est pendant cette semaine historique que les Congolais de Kinshasa sauront si les élections auront lieu ou pas.
En un homme averti, il est évident de dire que, l’attitude du président de la République Démocratique du Congo pendant cette semaine, ne déterminera pas seulement la garanti des élections inclusives et transparentes ou non, mais aussi, son attitude de cette semaine nous éviterait la geure en RDC ou provoquerait celle-ci. À cet effet, il est important de rappeler au président de la République Démocratique du Congo son caractère inscrit en 2006 dans ces termes:«Momema maki aswanaka te, abundaka te.» (je m’excuse pour l’orthographe, bien que le Lingala est notre langue).
Alors, le sérieux oblige à ce que, cette semaine historique soit mieux gérer pour l’honneur de la République et pour l’honneur du président de la République et notre président, surtout que, avec premièrement l’arrivée du président de MLC, son excellence Jean-Pierre Bemba et aussi deuxièmement avec l’arrivée de l’ autorité morale de ENSEMBLE POUR LE CHANGEMENT, son excellence et le candidat président de la République Moïse Katumbi, bien que toutes ces réalités perturbent la conscience du pouvoir. il est toujours admirable de faire mieux avec ses adversaires politiques de la même manière que ceux-la de son camp politique.
Tous ensemble, nous attendons le dauphin pour le FCC. L’unique repère historique du respect de la constitution.
Félix Mwanza Ntompa:« Rien de plus important ne nous intéresse que la vie en commun»
Félix Mwanza Ntompa