Expert en éducation aujourd’hui 25 ans et député national élu du
territoire de Lubao, l’ancien patron de l’enseignement primaire,
secondaire et professionnel dans la province actuelle de la Lomami,
Dieudonné Mposhi Kibambe alias Chakiebe a Kenge est parmi les hauts
cadres du Front Commun pour le Congo FCC en sigle, qui répondent
favorablement et positivement à la vision du Chef de l’État Félix-
Antoine Thisekedi Thilombo.
Au cours d’un entretien avec votre rédaction ce mercredi 15 mai, c’est
compatriote congolais a accepté de livrer un secret de réussite au
garant de la nation sur comment relancer les conditions de l’éducation
nationale au niveau de la base, selon lui, estime que le prochain
Gouvernement doit investir plus dans l’enseignant, source productrice
de l’élite congolaise.
Vous avez passé la moitié de toute votre vie dans l’enseignement,
Qu’est-ce qui motive aujourd’hui votre entrer en politique.
DMK: Mon entré en politique est la meilleure façon pour moi de servir
mon pays et par ricochet le peuple congolais, mon combat pour les
biens être de nos enfants reste donc le même .
Avec mon expérience de plus de 25 ans dans le secteur éducatif de mon
pays, je crois que le moment temps entendu est arrivé de booster le
développement de l’enseignement dans mon pays.
Vous êtes sans ignirer que par principe la mission d’un parlementaire
est de voter des lois du pays et de contrôler les actions du
Gouvernement ainsi que ceux des entreprises, établissements et
services publics parmi dont le ministère de l’éducation nationale fait
partir de ma spécialité.
Vous avez parcouru plusieurs provinces de votre pays, selon vous par
où devrait commencer le nouveau Gouvernement pour relever
l’éducation nationale.
DMK: A mon humble avis, le président de la République Démocratique
du Congo, son excellence Félix Tshisekedi, doit investir dans l’enseignant
congolais, source productrice de l’élite congolaise.
Dans toute les provinces l’enseignant doit bénéficier aux maximum la
jouissance de ses droits notamment ajuster son salaire,
logement et autres avantages comme tout fonctionnaires de
l’État, bref le Gouvernement doit faire preuve de ses responsabilités.
En outre , le ministère de la titulle doit également déboulonner le
phénomène des enseignants non payer, plus de 149.000 enseignants
congolais ont des numéros matricules mais ils ne sont pas pris en charge par l’Etat. Il Y a aussi la catégorie d’ enseignants appelés nouvelles
unités qui n’ont perdu tout espoir concernent leur prise en charge par l’Etat congolais.
C’est ainsi je demanderai au prochain gouvernement de mécaniser et de budjetiser les enseignants et aussi de soutenir et financer en même temps les réformes éducatives déjà amorcées dans le secteur de l’éducation.
C’est ainsi que j’exhorte tout le corps professorat, de faire preuve de
maturité car ce ne pas par coup de baguette magique que sa situation va
connaitre de l’amélioration mais ce plutôt en soutenant les belles
initiatives entreprises par son excellence Félix Tshisekedi, Chef de l’État
que la promotion des droits de l’enseignant sera effective.
c’est mieux aujourd’hui d’être enseignant en République
Démocratique du Congo?
DMK: Oui. Je voudrais remercier ici tous mes enseignants notamment
de l’école maternelle, primaire, secondaire et professionnel ainsi que
universitaire pour m’avoir transmis diverses connaissances qui ont fait
de moi une grande personnalité, et je félicite et encourage tous ces
enseignants qui continuent à se battre jour et nuit pour la formation
éducative de nos enfants élites de demain à travers toutes les provinces
du pays. J’attire aussi l’attention de nos enfants de prendre leurs études et formations au sérieux, tout en dénonçant toute les
antivaleurs aux quelles ils sont confrontées.
Votre mot de la fin
DMK: C’est de vous remercier tout en demandant une fois de plus aux
autorités du gouvernement central et local du ministère de l’éducation
nationale je vois le ministère de l’enseignement primaire, secondaire et
professionnel; de la formation professionnelle, métiers et artisanat ;
supérieur et universitaire ainsi que l’ensemble du personnels qu’il est
temps pour que chacun mette la main dans la pâte pour développer
notre pays.
Edourdine