Dans une lettre adressée au chef du gouvernement congolais, monsieur le premier ministre le 19 septembre dernier, les collectifs de syndicats et associations de l’enseignement supérieurs et universités menace de grever si le gouvernement ne parvient pas à respecter ces avancements vis-à-vis du corps académique.
Pour rappelle le 29 janvier 2018 le ministre de l’ESU avait pris une décision adéquate de rabattre le taux de frais académique à 920 FC les dollars américain, suite aux revendications du 24 et 25 du même mois par les étudiants de l’Université de Kinshasa.
Matérialiser par la note circulaire N°019/MINESU/CAB.MIN/SMM/BLB/2018, cette décision a par conséquent, préjudicier plusieurs établissements publics de l’État qui s’étaient inclinés à respecter l’esprit de cette note. Ce qui a entraîné par la suite un manque à gagner de l’ordre de vingt et un milliards cent deux millions quatre cent soixante-deux mille sept cent cinquante franc congolais soit 21.102.462,750 FC, indique le rapport présenté par la commission mixte des experts qui a été mise sur pied.
Selon nos informations enrichit la même missive le chef de l’État ayant été saisi avait instruit le 21 mai tous les ministères concernés notamment du budget de finance et de l’ESU à résoudre définitivement cette crise cependant rien n’a été signalé à ce sujet.
Pour les collectifs dénonce trois difficultés à savoir :
– La stagnation injustifiée du dossier jusqu’à ce jour,
– Le refus d’exécution de l’instruction du président de République par certains membre du gouvernement,
– La non-implication du chef du gouvernement.
C’est ainsi que ces syndicats viennent de donner un préavis qui court de 20 au 30 septembre courant et exigent le paiement du dit manque à gagner(21.102.462.750fc), faute de quoi les examens de la deuxième session ainsi que la rentrée académique prochaine risque ne pas avoir lieu cette année.
Rapproché à ce sujet l’ambassadeur universel de la paix Dieudonné Mposhi Kibambe, dit Chakiebe A Kienge appelle ses pairs aux consensus d’intérêt général, en croire a ses propos la priorité d’un côté, au corps professoral ainsi personnels de l’enseignement supérieur et universitaire doit viser d’abord la formation et encadrement de nos jeunes enfants futures cadres et élites de ce pays, de l’autre côté il revient au gouvernement congolais de jouer son rôle celui du bien être de sa population en exécutant le contrat en court ; l’africain est en général caractérisé par la culture de l’arbre à palabre pour régler ses différends et les congolais en particulier fait automatiquement partie témoigne cet artisan de la paix.
De tout ce qui précède il sied de noter qu’ une mesure préventive de la part du gouvernement doit être prise pour garantir le fonctionnement des instituts et universités concernés, de rassurer en plus le paiement car en dehors d’être de travailleurs de l’État ils sont aussi responsables de familles conclut Mr Mposhi Kibambe.